Nom de l’auteur/autrice :Fabrice Aubert

Avant de s’élancer sur le sol lunaire le 21 juillet 2069, les participants de Moon 42.195 ont subi un entraînement spécifique pour les préparer à la Lune. Mais pas n’importe lequel !

Pour un journaliste comme moi, féru d’actualité internationale, il fallait bien sûr imaginer quelques bouleversements ou nouveautés géo-politiques en complément de l’intrigue principale et des changements dans la vie quotidienne de 2069.

Deux projets, autant scientifiques que politico-diplomatiques, sont actuellement avancés et sont évoqués dans le roman : le projet américain et le projet chinois.

Pour courir sur la Lune, il fallait un équipement adéquat pour les participants du marathon : c’est la « Combinaison spatiale de gravité personnelle », PGSS-One en anglais. Une combinaison visionnaire, héritière des équipements passés et actuels.

Le graviton, cette particule aujourd’hui insaisissable, sera-t-il découvert puis maîtrisé un jour ? Moon 42.195 répond à la question.

Pour imaginer le « Moon Village » de Moon 42.195, je me suis basé sur les projets actuels, notamment ceux de l’Agence spatiale européenne, la plus en pointe sur le sujet. Pour le reste, je suis parti du principe que la découverte du graviton aurait accéléré la conquête spatiale, et donc l’édification de ce village pas comme les autres.

Trois jours et demi de voyage en 1969 dans une capsule qui ferait fuir tout claustrophobe, en particulier Augustin. Nous sommes bien loin de ça dans le 2069 de Moon 42.195 : une journée seulement, et dans de belles navettes dignes d’une cabine d’avion première classe !

Comment le progrès technologique influera-t-il sur notre vie de tous les jours d’ici à 40 ans ? C’est aussi une question à laquelle Moon 42.195 tente (modestement) de répondre !

A l’instar de tous ses devanciers, Moon 42.195 est le résultat d’un long processus. Découvrez comme son parcours, depuis l’idée originale jusqu’au livre final.

Au-delà des vrais projets scientifiques passés ou en cours sur lesquels l’intrigue s’appuie, je me suis aussi « amusé » à parsemer le récit de références culturelles, sportives, musicales…